Blog de Jean-Pierre LEROY

En fait, le programme d'Emmanuel Macron est un programme de continuité dans l'erreur.

Tous et toutes les Macronistes membres de "Renaissance" ou pas, pour l'avenir de notre pays sont dans l'erreur.

"IL FAUT DES JEUNES FRANCAIS QUI AIENT ENVIE D'ETRE MILLIARDAIRES " Les échos, 6 janvier 2015;

!!"Il y a une politique des fainéants et il y a la politique des artisans"Le Monde du 27 février 2015.

Le FN est un SYRIZA à la française, c'est LE REPLI SUR SOI"La Provence, 6 juillet 2015.

"Il y a un conservatisme de gauche qui ne veut pas la réforme"déclarait Emmanuel Macron sur BFM TV le 17 juin 2015.

" Le statut de fonctionnaire est de moins en moins défendable " Diszcours d'Emmanuel Macron au Think Tank "En temps réel", Le 19 septembre 2015

"Un des traumatismes français, c'est cette volonté d'égalité qui s'est transformée en égalitarisme jaloux. "

Signé Emmanuel Macron BFM Business le 3 airs 2015.

En toute honnêteté, je me dois de préciser qu'il s'agit du témoignage d'un citoyen de 83 ans dont les traits caractéristiques de son parcours citoyen peuvent donner à comprendre et relativiser positivement, négativement ou de façon neutre, certains aspects de ses prises de position.

Participant aux distributions de tracts du candidat S.F.I.O d'une des deux circonscriptions de Douai dans le NORD (la 14ème) aux législatives de 1956, j'adhère peu après aux "Jeunesses Socialistes" du parti dirigé alors par Guy Mollet, la S.F.I.O (Section Françaises de l'Internationale Ouvrière). Je fais aussitôt parti de celles et ceux qui souhaitent l'indépendance de l'Algérie et se saisissent de la pensée marxiste pour analyser le présent et préparer l'avenir.
Ensuite, quant à la formation, je sympathiserai très vite avec la pensée développée par Antonio GRAMSCI qui fait en quelque sorte émerger la dialectique : le mouvement dialectique entre les propositions existantes. L'interaction entre la proposition A et la proposition B qui engendre la proposition C. Tout comme l'existence de A implique celle de nonA, celle de B nonB etc. La cohabitation voulue, voire organisée, de chacune d'elles se fait au besoin de la résolution d'un problème, de la réalisation d'un projet d'intérêt collectif...
Au vu de ces réalités, on peut expliquer -dans les grandes lignes- le pourquoi de mon positionnement qualifié très à gauche dans toutes les étapes du déroulement de la vie du parti.
Soutien actif d'Alain SAVARY quand - en 1969 - il a été question de tourner la page SFIO dans l'histoire du Parti, quand au congrès d'Epinay - en juin 1971- il fut question d'ouvrir les discussions avec le PCF. Très actif pour la naissance du Programme Commun de la Gauche en 1972 et impliqué comme secrétaire de la section de Douai jusqu'en 1979, tout comme membre du "Comité Directeur National" après avoir été candidat du PS aux élections législatives de 1973 puis 1978 dans la 15ème circonscription du Nord tenue par la PCF depuis son apparition après 1921. En 1968 le PCF faisait 43% au 1er tour. Alors qu'en 1969 - au premier tour des présidentielles Gaston Deferre avait récolté 6% dans cette circonscription, nous en 1973 -avec des méthodes très gramscienne- avons atteint 16% en 1973 et 19,5% en 1978.
Si je quitte le CDN et le PS pour un désaccord total sur le nucléaire tant civil que militaire, je resterai très attentif et dès 1990 participerai activement à l'action politique dans l'un des dix quartier de la ville de Lille comme sympathisant PS. Tant et si bien que quelques trois mois avant mon départ en retraite - en mars 1998 - je fus élu Conseiller Général du Canton de Lille Nord-Est . Ce qui me valut avec l'accord du Maire de Mons-en-Barœul -non PS et très à gauche - et celui des militant.e.s lillois.e.s de m'inscrire au Groupe Socialiste du Conseil général tout en exerçant des responsabilités pendant 6 ans de mandat : Conseil départemental des Jeunes et présidence de la Commission Education.
Si une grave opération d'un cancer m'obligea à ne pas me représenter pour un second mandat cela ne m'empêcha pas de participer à la création du Parti de Gauche et d'apporter jusqu'à ce jour mon aide au travail de Jean-Luc Mélenchon et de ses équipes.

Comme promis.... voici donc la présentation de l'enquête.

Présentation de l’enquête . « Ecole-Parents : coopération indispensable»

Au lieu d’échanges francs sur les attentes mutuelles, on reste dans le non-dit et/ou dans le suggéré qui génèrent culpabilité et rancœur souvent contenues et polies.
Il est légitime que les parents cherchent à comprendre en essayant d’appréhender les ressorts de l’apprentissage. Et, quand ils ignorent totalement le vécu scolaire de leur enfant, ne les catalogue-t-on pas de mauvais parents ?
Comme les choses ne sont pas clairement déclarées, le parent volontaire se met à enquêter. Sherlock Holmes de la pédagogie, son attitude devient très vite insupportable pour l’enseignant qui se sent épié et vit mal cette ambiance qui fleure plus la défiance que la nécessaire confiance entre les adultes qui l’entourent que l’enfant doit ressentir pour « bien apprendre ». En effet, l’enfant progresse dans le monde des adultes, quand ceux-ci savent organiser les consensus et éviter les tiraillements qui le rendent au minimum mal à l’aise et peuvent être source de blocages voire de somatisations.!!!!